Chez Bolkiri, nous croyons que pour faire évoluer une cuisine, il faut avant tout la comprendre, la ressentir, la vivre. C’est dans cet esprit que notre fondateur est reparti au Vietnam, là où tout a commencé.
Pendant plusieurs semaines, il a traversé le pays, du delta du Mékong aux montagnes du nord. Chaque étape a été une plongée dans le quotidien vibrant du Vietnam : les marchés animés au petit matin, les échoppes de rue où tout se joue autour d’un plat, et les rencontres spontanées autour d’un café glacé ou d’un bol de phở.
Ce voyage a été avant tout sensoriel. Goûter, sentir, observer…
Il s’est laissé guider par les parfums des bouillons, la texture surprenante d’un bánh cuốn fait à la main, ou encore la fraîcheur d’herbes oubliées. Il a échangé avec des cuisiniers de rue, des familles, des producteurs — tous porteurs d’un savoir-faire précieux, transmis avec passion.
Cette immersion a ravivé une évidence : pour créer, il faut d’abord comprendre.
Pas question de réinventer pour réinventer, mais de respecter l’origine tout en osant l’adapter. Ce voyage a nourri une réflexion profonde sur l’évolution de Bolkiri, en gardant toujours le goût comme boussole.
De nouvelles idées ont émergé. Des envies de plats, de formats, d’expériences.
Peut-on s’attendre à des nouveautés prochainement ? Qui sait… 👀
Mais une chose est certaine : ce voyage influence déjà la suite de l’aventure.
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